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Les moments que nous avons partagés et les souvenirs que nous avons accumulés avec un être cher, ainsi que leur héritage, suffisent-ils à les pleurer ?
Paul, un adulte dans la trentaine, est tranquillement assis à table. Il prend une bouteille d’alcool dans la main et se serre un verre, à la manière dont le faisait son grand père, André.
C’est alors qu’il se souvient comment, enfant, il passait une partie de ses vacances d’été dans la maison de campagne de son grand-père pendant que ses parents étaient absents.
Malgré la joie de son grand-père de l’avoir à ses côtés, ils traversent tous deux une période initiale de maladresse, luttant pour tisser un véritable lien.
Pour lutter contre l’ennui, Paul filme tous les aspects de leur vie quotidienne.
D’abord distant et peu reconnaissant, Paul se sent progressivement plus à l’aise.
Au fil du temps, il apprend à mieux connaître son grand-père et à apprécier les petits gestes, jusqu’à ce qu’une certaine complicité grandisse entre les deux.
Jusqu’au jour où Paul se rend compte qu’il apprécie sincèrement son séjour à la campagne avec son grand père, et que naturellement ses réserves initiales se sont estompées.
Au milieu de ces expériences positives, un incident survient soudainement. Alors qu’il joue dans la voiture de son grand-père, Paul désengage accidentellement le frein à main, endommageant la voiture et provoquant la colère de son grand-père.
Ils doivent surmonter cet incident pour rétablir leur relation délicate.
Cependant, après avoir amélioré leur relation, le séjour de Paul chez son grand-père est écourté de manière inattendue lorsque celui-ci décède d’une crise cardiaque alors qu’ils regardent un match de football entourés d’amis dans un bar PMU…
