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Simon Geoffriau


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Mikros Image - Character TD/Rigger . Montréal
Travaille actuellement chez : Rollickin' / Norman Studios

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Simon Geoffriau est un globe-trotter dans l’âme…

Simon Geoffriau est un globe-trotter dans l’âme.
Lorsqu’il intègre la formation en Cinéma d’Animation 3D de l’ESMA, c’est avec l’ambition de faire un métier qui lui plaît, et qui lui permet en plus de faire le tour du monde.

Un artiste à la conquête du monde

Son diplôme en poche, ce co-réalisateur du film Milezim, qui avait obtenu en 2012 le 3e prix du jury de fin d’études, part tout de suite à la conquête des studios internationaux. Et c’est d’abord à Hong-Kong qu’il dépose ses valises, où pendant quelques mois il travaille au sein du studio Rollickin’, en tant que rigger, et animateur. Après une belle expérience, il change à nouveau de continent, et s’installe à Montréal.
Là, il intègre le studio Mikros Image, où il va notamment travailler sur le film d’animation Le Petit Prince, réalisé par Mark Osborne.

Rigging Technical Director à Framestore

La ville lui plaît, et l’amène à vouloir poursuivre son expérience montréalaise. Après près d’un an et demi chez Mikros, il postule chez l’anglais Framestore, qui a inauguré sa succursale montréalaise en 2013. Il est engagé en tant que rigger, où il a notamment pour mission de créer des effets spéciaux. Une expérience bien différente du long-métrage d’animation, qui lui permet d’enchaîner les projets, et de travailler sur des blockbusters hollywoodiens.
A Montréal, c’est un peu de l’ESMA qu’il retrouve : en plus de travailler avec deux des anciens étudiants de sa promotion, il a aussi retrouvé quelques anciens camarades :
« Au coin de la rue, deux autres studios célèbres emploient trois anciens de l’ESMA, qui sont restés de vrais amis ! ».
Une qualité de vie dont il profite, favorisée par la confiance que lui accordent ses supérieurs :
« Depuis mon arrivée chez Framestore, j’ai travaillé sur de nombreux films, dont notamment The Legend of Tarzan, Now You See Me 2, ou encore Knights of the Round Table : King Arthur de Guy Ritchie, pour lequel on m’a donné plus de responsabilités ».

Long-métrage, transmission de savoir…

Pour la suite, il se laisse le temps de continuer à emmagasiner de l’expérience chez le géant anglais. Mais il sait déjà que son avenir est ailleurs. Et s’il aimerait travailler à nouveau sur un long-métrage d’animation, il pense déjà à une autre aventure, dans un futur plus lointain : « Je me laisserais bien tenter par l’enseignement ! Transmettre ce que j’ai appris, et ce qu’il me reste encore à apprendre, c’est une possibilité à laquelle je pense ». Qui sait, peut-être à l’ESMA…